Mensonges, maltraitances et crimes contre les populations les plus vulnérables (dont les enfants, les personnes âgées dans les EHPAD), les professionnels du soin, du service et de la défense pendant ladite « crise sanitaire ».
Corruption des enfants, promotion du transgenrisme et de la transition de genre, atteinte au principe fondamental du droit d’instruire en famille.
Cadenassage des médias et censure de la liberté d’expression au prétexte de la lutte contre la désinformation.
Persécution des gilets jaunes et annihilation des classes moyennes.
Destruction de l’agriculture française à taille humaine et respectueuse de l’environnement.
Promotion de la nourriture artificielle et à base d’insectes.
Destruction de la filière énergétique française.
Destruction de l’hôpital public, de l’enseignement public.
Menaces de supprimer l’argent liquide au profit d’une monnaie numérique permettant de mettre en place le contrôle social.
Menaces sur la propriété privée.
Réduction des questions environnementales au seul « changement climatique », généralisation des « passes », « smart cities », implantation forcée du compteur « Linky ».
Transfert de la souveraineté de la France à l’Union européenne et la liste est encore longue : quel est le point commun de toutes ces formes de persécutions contre les populations et contre les pays souverains ?
La réponse :
La réalisation d’un objectif de mise au pas mondial des populations, dont l’un des programmes publics est l’Agenda 2030.
L’Agenda 2030 de l’ONU et du WEF a été adopté par une Résolution de l’Assemblée générale de l’ONU, le 25 septembre 2015. Pour la France, sa mise en œuvre est notamment supervisée par la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe (CEE-ONU).
En dernier lieu, l’ONU a lancé en septembre 2022, le “Sommet du Futur”, dans le but d’accélérer l’Agenda 2030. Le premier « Sommet de l’avenir » se tient en septembre 2024 pour « renforcer la coopération sur les défis critiques et de combler les lacunes dans la gouvernance mondiale, de réaffirmer les engagements existants, y compris en matière d’objectifs de développement durable ».
Il prévoit 17 objectifs de développement durable et 169 cibles.
Sur le papier, cet agenda se veut être pour les populations, pour la planète, pour la prospérité, pour la paix.
https://www.agenda-2030.fr/17-objectifs-de-developpement-durable/
En France :
« Depuis le 20 septembre 2019, la France est dotée d’une Feuille de route pour l’Agenda 2030. Cette Feuille de route, élaborée de façon concertée, fixe le cap pour une France entreprenante, solidaire et écologique autour de six enjeux prioritaires :
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Enjeu 1 : Agir pour une transition juste
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Enjeu 2 : Transformer les modèles de sociétés
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Enjeu 3 : S’appuyer sur l’éducation et la formation tout au long de la vie
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Enjeu 4 : Agir pour la santé et le bien-être de toutes et tous
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Enjeu 5 : Rendre effective la participation citoyenne à l’atteinte des ODD
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Enjeu 6 : Construire une transformation durable européenne et internationale ».
https://www.agenda-2030.fr/17-objectifs-de-developpement-durable/
L’ONU a signé, en juin 2019, un « partenariat stratégique » avec le Forum économique mondial pour la mise en œuvre de l’Agenda 2030, autour de six objectifs :
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Le financement de l’Agenda 2030,
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Le changement climatique,
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La santé,
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La coopération numérique,
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L’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes,
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L’éducation et les compétences
Ceci pour renforcer et élargir leur impact combiné en s’appuyant sur les collaborations existantes et nouvelles.
Un nouvel accord entre les deux institutions est signé, en mai 2022, pour « accélérer conjointement la mise en œuvre de l’Agenda 2030 ».
Un rapide aperçu des « partenaires » du programme « 2030vision » du Forum économique mondial donne une idée de ce à quoi les populations font face :
https://web.archive.org/web/20210612205554/https://www.2030vision.com/partnerships
L’OMS collabore aux programmes de mise en œuvre de l’Agenda 2030.
Dans un rapport de février 2021, l’OTAN semble s’aligner sur l’Agenda 2030, en intégrant des « défis de sécurité non-traditionnels », en premier lieu le changement climatique.
Inévitablement, de tels objectifs, portés au niveau de l’ONU, portent en eux l’installation d’une gouvernance mondiale et de normes uniformes pour les atteindre.
Que plus une tête ne dépasse !
Les question suivantes se posent immédiatement :
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Quelle gouvernance mondiale ?
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Quelle voix pour les peuples ?
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Quelle place restera-t-il aux États souverains ?
Sous couvert de vagues bonnes intentions, ils nous promettent un monde globalisé, uniforme, soumis à une gouvernance mondiale, capturée par une oligarchie auto-désignée et ne défendant que ses propres intérêts.
Nous sommes désormais habitués et sommes immédiatement alertés par une telle utilisation d’un langage paradoxal.
Ce programme n’est que la partie émergée et visible d’un iceberg aux innombrables ramifications aux profondeurs insondables.
La puissante vague mondialiste qui tente de nous submerger depuis plusieurs décennies, avec une force particulière depuis ladite « crise sanitaire » (la soi-disant « nouvelle normalité »), est multiforme, elle coalise de très nombreux intérêts, plus ou moins convergents, plus ou moins pérennes, dont une partie probablement immense reste invisible à nos yeux et sa conception et ses plans de mise en œuvre remontent à loin dans le temps.
L’ONEST se donne modestement pour but de contribuer à la reprise du pouvoir par la population, qui en a été privée.
Deux sujets primordiaux émergent :
La protection de nos enfants, qui sont aujourd’hui gravement menacés dans leur équilibre physique et psychique et
Les mesures liberticides qui s’accumulent et qui détruisent tant de vies.
Se défendre contre ce coup d’État mondial contre les peuples suppose, avant tout, de se réapproprier et, donc, de comprendre ce qui a, pendant des décennies, constitué le socle de notre droit, soit des valeurs humanistes.
Certes imparfait et déjà enjeu de lutte et de pouvoir, il était néanmoins irrigué de valeurs autour desquelles on peut considérer qu’il existait un consensus :
Le caractère sacré de la vie, la primauté des droits de l’enfant, la primauté de la personne humaine et l’inviolabilité du génome humain, l’existence de droits fondamentaux inaliénables, au premier rang desquels la dignité de la personne humaine. D’autres droits, tels que le respect de la liberté d’expression, la représentation des citoyens par et pour les citoyens et tant d’autres aujourd’hui balayés d’un revers de main.
Une fois que la population se sera réappropriée ses valeurs, ses principes, ses droits, que la majorité aura récupéré son libre-arbitre, il deviendra possible de se défendre et de reprendre le pouvoir en vue du rétablissement de l’ordre, le bien commun.
Pour aller plus loin :
https://m.vk.com/@olivierpalarbre-que-cachent-lagenda-21-et-lagenda-2030-des-nations-unies?=
https://odysee.com/@Miniver:4/greaterreset:2
https://telegra.ph/MESSAGE-DE-MGR-VIGANO-AUX-MANIFESTANTS-CONTRE-LE-PASSE-SANITAIRE-10 – 22
https://odysee.com/@Isildan:8/MONOPOLY-WHO-OWNS-THE-WORLD-VOSTFR:1
https://dar-avocats.com/grand-jury/
https://www.bitchute.com/video/KywpfYQwRdM0/