Examen par les pairs de la réponse de l’ANSES

Vous êtes un spécialiste ou expert ? N’hésitez pas à nous faire parvenir vos commentaires : contact@onest-alternative.org.

Nous publions ici les commentaires reçus concernant la réponse de l’ANSES, les annexes et liens fournis et qui faisait suite à notre lettre.

Hervé Seligmann :

Injections à base d’ARN et immunité via des modifications du génome ?

Plusieurs points de la crise de la « vaccination » COVID, que toutes les personnes concernées auraient dû connaître à l’époque et aujourd’hui, doivent être rappelés dans le contexte des utilisations vétérinaires des injections ARN:

1. On ne vaccine pas pendant une épidémie/pandémie, mais avant.

2. Une injection dans le sang/la lymphe ne protège pas contre les infections transmises par voie aérienne.

3. Les produits injectables ne restent pas au point d’injection, mais se distribuent dans tout le corps, se concentrant particulièrement dans le foie et les ovaires, et d’autres organes.

4. Des nucléosides transformés sont insérés dans l’ARN injectable afin d’empêcher sa destruction à court terme.

5. Le point 4 favorise l’autoréplication de l’ARN et, par conséquent, sa transmissibilité à l’ensemble de l’organisme et à d’autres individus.

6. Le point 4 favorise l’intégration de l’ARN par les ARN polymérases inverses dans l’ADN.

7. Les polymérases inverses ARN→ADN sont présentes dans tout l’organisme humain (et eucaryote) (chaque cellule) :

     a) dans le microbiote intestinal ;

     b) les gamma polymérases mitochondriales possèdent une activité inverse ARN→ADN ;

     c) Des gènes viraux codant pour des polymérases ARN->ADN sont intégrés au génome humain (10 % du génome humain sont des virus à ARN).

Quiconque ignore ou nie ces principes fondamentaux met en danger au lieu de protéger. Les injections ARN mettent donc en danger les animaux injectés, les animaux non injectés et les humains dans leur environnement, également exposés à leurs déchets (nappes phréatiques?), et potentiellement les humains qui les consomment.

Hervé Seligmann est titulaire d’un doctorat, ses compétences couvrent les domaines de la virologie, la biologie moléculaire de l’ARN, la biologie évolutive. Il est biologiste statisticien et chercheur biomédical avec une large expérience dans des disciplines aussi variées que la physiologie des plantes, la micro-évolution de la morphologie des lézards, et un grand nombre de découvertes sur le code génétique et les gènes, dont des phénomènes de mitigation des erreurs de traduction des gènes. Il a publié plus de 100 articles scientifiques dans des revues scientifiques internationales revues par des pairs.


Un lecteur averti souligne

« En tout état de cause, du fait des éléments scientifiques solides relatifs aux cycles de vie des ARM m au sein des cellules vivantes, »
« AUCUN ESSAI SPECIFIQUE N’EST RÉALISÉ AFIN DE DEMONTRER L’ABSENCE D’ARN MESSAGER AUTO-AMPLIFIANT D’ORIGINE VACCINALE DANS LA VIANDE ABATTUE. »

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